GPC Operations Cell: gpc[at]unhcr.org
Gender-Based Violence: chase[at]unfpa.org
Child Protection: rpouwels[at]unicef.org
Housing, Land and Property: jim.robinson[at]nrc.no
Mine Action: unmasgeneva[at]un.org
La poursuite de la violence armée qui touche notamment les zones de contact entre l’AFC/M23 et les groupes armés/Wazalendo dans les Territoires de Nyiragongo, Masisi, Walikale et Lubero ainsi que l’activisme violent des ADF dans le Territoire de Beni, constituent les principales sources des déplacements forcés et de violations des droits. Dans les zones urbaines notamment à Goma et en périphérie, le banditisme armé constitue un facteur supplémentaire. Les opérations menées pour y mettre fin, ainsi que le démantèlement des sites qui se poursuit, sont aussi des facteurs de risques de protection pour les populations civiles. En outre, l’insécurité qui persiste, la présence des REG/EEI, les conflits LTP dans les zones de retour pourraient, faute de mesures d’atténuation, compromettre la durabilité des retours. Il est important d’organiser la réponse d’urgence et de mettre en place des activités de résilience et de cohésion sociales appropriées là où cela est possible pour réduire les risques de protection auxquelles les populations sont exposées. Une importance particulière devrait être accordée à « l’approche sensible aux conflits » et au principe « ne pas nuire » dans la mise en place de ces activités.
Tendances majeures :